Découvrez nos dernières publications :
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Revendications trans et positivité corporelle: des modes qui passent
Positivité corporelle, activisme LGBTQ+, diversité culturelle... Plusieurs organisations délaissent ces enjeux jugés dépassés. Assiste-t-on à un changement social? À un retour en arrière? Il est aussi possible que ce soit le simple déclin de modes mises de l’avant par la génération Z, puis rejetées par la génération Y. Ces revendications sociales n’évoluent toutefois que sur la forme sans que le fond ne change vraiment. Quelles conclusions peut-on en tirer?
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Contrer l'effondrement des sociétés
Le troisième livre d’Étienne-Alexandre Beauregard fait jaser jusque chez les cousins. Dans Anti-civilisation ― Pourquoi nos sociétés s’effondrent de l’intérieur, il brosse le portrait des sociétés occidentales et dénonce l’effritement des normes et mœurs communes au profit d’un individualisme effréné. Ce qui fait couler l’encre à flots, c’est la solution qu’il propose pour contrecarrer cette tendance: un conservatisme soucieux du bien commun. Qu’en penser?
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Une découverte qui bouscule les acquis de la science
Michael Levin, biologiste du développement de l’Université Tufts, à Boston, bouscule présentement notre compréhension de la vie et de la cognition. Ses travaux pourraient même avoir un impact majeur dans les prochaines décennies, car ils réfutent empiriquement le matérialisme et remettent l’esprit — et même les esprits — au premier plan. Changement de paradigme en vue.
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Aziliz Le Corre: un plaidoyer féministe en faveur de la vie
Depuis 15 ans, le taux de natalité est en chute libre au Canada avec 1,4 enfant par femme. Même son de cloche en France, où les femmes ont en moyenne 1,7 enfant. À l’opposé, le mouvement No Kids, qui regroupe ceux qui refusent d’en avoir, est en croissance en Occident. La journaliste et mère de famille Aziliz Le Corre s’est penchée sur le phénomène pour tenter d’en comprendre les origines. Entrevue sur son livre L’enfant est l’avenir de l’homme.
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Caser le patrimoine religieux
Quand on annonce que l’église du quartier — vide depuis des lustres — est vendue et détruite pour laisser sa place à de affreux condos, d’aucuns s’énervent devant le fait accompli. Leur zèle excité, ils s’agitent, signent des pétitions, manifestent. Mais quand l’inévitable se produit, qu’advient-il du matériel? C’est par la bédé qu’Isabelle Lareau et Francis Desharnais répondent à la question la plus intéressante et la plus ennuyeuse de notre époque.
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Quand le numérique mène à Dieu
«J’aimerais ça aller dans une église, mais à cause de la Covid, elles sont toutes fermées.» C’est la bouteille lancée par William dans la mer numérique de Twitter (X) depuis sa chambre de Saint-Lambert-de-Lauzon. Depuis réouvertes, les églises sont visitées par de nombreux zoomers qui, dans bien des cas, demandent comme lui le baptême. S’il ne touche pas tout le monde, le phénomène n’en demeure pas moins palpable sur le Web et dans les milieux chrétiens partout en Occident. Le nouveau parvis que franchissent ces gentils du deuxième millénaire: les réseaux sociaux.
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Vraie et fausse liberté avec Virginia Tangvald
«Il y a trois sortes d’hommes: les vivants, les morts et ceux qui vont sur la mer.» Virginia Tangvald ouvre ainsi son récent film, Les enfants du large, pour décrire son père et son frère, Peter et Thomas. Ils auraient été les trois à la fois. Après une tournée en salle et dans les festivals, l’opus remportait le Prix du public TV5 du meilleur film francophone. Il est depuis peu disponible sur le site Web de l’ONF. Quelque temps auparavant, le roman biographique du même nom était un succès de librairie au Québec et en France, lui valant le prix Révélation d’automne de la société des gens de lettres. Le Verbe a souhaité faire le point avec l’autrice sur un récit familial traversé par une quête de liberté assassine.
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Raconter en images
L'équipe du Verbe a puisé dans ses souvenirs pour vous faire découvrir 8 films aux récits surprenants. Bonne immersion!
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Des mots pour guérir
Huor cherche à traverser son deuil, Christine à briser l’isolement des utilisateurs de drogues et Diane à défaire les stéréotypes entourant les problèmes de santé mentale. Ils sont d’origines et de conditions sociales différentes et vivent des problématiques tout à fait éloignées les unes des autres. Ils ont pourtant fait l’expérience, chacun à leur manière, du pouvoir de la parole dans leur vie et celle des autres. Zoom sur trois œuvres qui utilisent la communication comme moyen de rétablissement.
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Cachez cette mort que nous ne saurions voir
On pourrait penser qu’après l’Halloween, tous les monstres sont rentrés au placard, mais non, une terreur subsiste: la mort. Bien que de plus en plus présente dans la sphère publique – aide médicale à mourir et population vieillissante obligent – elle est, paradoxalement, mise à l’écart le dernier moment venu. Les funérailles traditionnelles n’ont plus la cote, alors on se tourne vers d’autres types de cérémonies de fin de vie. Le programme est dans le nom: on y célèbre la vie… au point d’occulter la mort. Petite autopsie des rites funéraires.
