

Printemps 2025
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Y a du monde à kermesse!
Formé des mots néerlandais kerk et misse – littéralement «messe d’église» –, le nom «kermesse» désigne originellement une grande foire villageoise où la communauté célèbre le saint patron de sa paroisse. Bien qu’aujourd’hui cette fête soit généralement dégagée de sa filiation religieuse, sa dimension sacrée demeure centrale pour quelques-uns. Plongée dans le tourbillon d’une kermesse faite maison, où chaque année, petits, moyens et grands se laissent éduquer à l’art quasiment révolu de la fête communautaire.
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Les Québécois ont-ils encore le cœur à la fête?
Les chiffres sont clairs: la consommation d’alcool diminue au Québec depuis quelques années. Presque plus personne ne fume de tabac. Les spectacles terminent de plus en plus tôt. Les boites de nuit ont presque disparu. Et pourtant, les festivals sont légion. Il me semble que, malgré leur abondance, la plupart des évènements festifs ne lèvent pas. Que je pense à la Saint-Jean, à l’Halloween, à Noël, rien n’est comparable à mes souvenirs d’enfance. Nostalgie de trentenaire? Préjugé favorable au passé? Sans doute. Mais au risque d’être perçu comme un rabat-joie, j’ose plutôt penser que les Québécois savent de moins en moins fêter.
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Prendre la joie à bras-le-corps
Bouger, faire des rencontres, chasser les tracas l’espace d’un moment festif: il y a toutes sortes de raisons pour danser le swing. Incursion dans l'univers de cette forme de danse comptant de nombreux adeptes parmi les chrétiens.
