On passe à la vitesse grand V!

Comment trouvez-vous notre nouveau site web?

Je donne mon avis
Fermer
Articles
Véronique Demers
Véronique Demers

Véronique Demers

Véronique Demers est passionnée d'écriture depuis sa tendre enfance. Elle a exercé la carrière de journaliste pendant plus de 10 ans. Elle s'intéresse en particulier au développement personnel, au mieux-être, à la spiritualité, à la technologie et au monde du travail.

  • Valoristes

    Les Valoristes, ces travailleurs de l’ombre

    De Québec à Montréal, en passant par Vancouver et plusieurs villes du monde entier, les Valoristes parcourent les rues à la recherche de contenants consignés. Le revenu d’appoint qu’ils tirent de ce butin leur permet d’acheter une gâterie, qui est banale pour plusieurs d’entre nous, comme un cornet de crème glacée sous le soleil plombant où le mercure affiche 28 degrés Celsius. J’en ai rencontré quelques-uns, à Québec et à Montréal, pour mieux les connaitre. Ils s’appellent notamment François, Jean-Paul, Linda et Lise. La majorité sont dans la soixantaine, l’un d’eux est dans la trentaine. Ils n’ont pas eu la vie

  • Comment assurer l’avenir du patrimoine religieux ?

    Chaque année, au Québec, une quarantaine d’églises ferment leurs portes. Néanmoins, plusieurs projets de requalification du patrimoine religieux voient le jour. Trois représentants de projets en économie sociale et un urbaniste ont discuté des enjeux liés au patrimoine religieux dans le cadre d’une conférence en ligne animée par Félix Bussières, directeur général au Pôle des entreprises d’économie sociale de la région de la Capitale-Nationale. Tous s’entendent pour dire que le patrimoine religieux est en péril au Québec, mais que l’économie sociale — liée de près aux valeurs des communautés religieuses — s’avère une avenue intéressante pour sauvegarder à la fois

  • coparentalité

    Coparentalité : des enfants sans amour ?

    Avec la montée constante du taux de séparation, les mariages en baisse et la hausse des familles recomposées, un nouveau modèle familial essaie de se faire un chemin. Après l’amour sans l’enfant, l’enfant sans le sexe, voici la coparentalité, ou plutôt l’enfant sans amour. Des groupes Facebook ont été créés pour mettre en contact des hommes et des femmes — toutes attirances sexuelles confondues — voulant devenir parents, sans toutefois être en couples. Une plateforme Web est également née en 2014, Coparentalys, suivie un an plus tard de sa page Facebook. Son fondateur, Frédéric Bianco, a d’abord desservi la région

  • entraide cultiver pour donner

    Cultiver pour donner : un jardin d’entraide

    Le projet Cultiver pour donner est parti d’une simple passion pour le jardinage et d’un désir d’entraide. Aujourd’hui, l’organisme compte neuf terrains pour la culture et distribue ses produits à de nombreux bénéficiaires à Québec. Entrevue avec Jacques Bilodeau, diacre et fondateur.  Passionné de jardinage depuis de nombreuses années, Jacques Bilodeau a voulu redonner au suivant. Il y a cinq ans, avec sa femme, le diacre de la paroisse Saint-François-de-Laval a cultivé chez lui des légumes qu’il a offerts à des familles démunies de Limoilou. Le projet Cultiver pour donner venait ainsi de naitre. « J’ai travaillé pendant 13 ans au

  • Sylvain Bédard

    Après le fléau : Sylvain Bédard, ex-cocaïnomane

    Démêlés avec la justice, drogue, alcool, trafic de drogue, multiples tentatives de suicide… Sylvain Bédard a été plongé dans les ténèbres pendant plusieurs années avant de se tourner vers Dieu, lent à la colère, compatissant et miséricordieux. Récit d’un homme qui l’a échappé belle. Cadet d’une famille de six enfants, Sylvain Bédard n’a pas eu une vie facile. Originaire du quartier Neufchâtel à Québec, Sylvain a accueilli dans sa famille — qu’il qualifie de « dysfonctionnelle » — deux sœurs adoptées. « Dans les années 1970, les critères des services sociaux n’étaient pas vraiment stricts. Il n’y avait pas d’étude de dossier », se souvient-il. Au

  • Les bénévoles Camille Eleazar et Maude Normand, lors du lancement de la monnaie Entrai-Dons (photo: Véronique Demers).

    Une monnaie locale pour les démunis

    Signe que l’entraide est loin d’être morte en 2019, une nouvelle monnaie locale a vu le jour ce printemps dans le quartier Saint-Roch de Québec: Entrai-Dons. Le projet pilote met en circulation 1000 jetons. Une quarantaine de personnes se sont déplacées pour le lancement du 30 mars au parvis de l’église Saint-Roch. «L’action entrepreneuriale peut améliorer la santé économique de la société. En un an, on a pu améliorer la vie de 250 personnes, soutenir directement 155 personnes et donner du pouvoir d’agir à 33 personnes d’entreprises en économie sociale de la région de Québec», a résumé Victoria Thân, l’une

  • Photo: Chris Benson (unsplash.com).

    Rencontre divine chez les Pinkston

    Atteint de la paralysie cérébrale, Arouna ne parle pas et est limité dans ses mouvements. À quelques jours de Noël, je suis dans le salon des Pinkston qui me racontent comment leur chemin a croisé divinement celui de ce frêle garçon originaire du Burkina Faso. Robert Pinkston est un homme de Dieu avec une mission particulière : celle de prendre soin des enfants vivant une situation de handicap. Mais il préfère les appeler « des enfants aux besoins spéciaux ». Dans certains pays, ces jeunes garçons et filles n’ont pas le droit de recevoir de soins ni d’éducation ! C’est ainsi que

  • Photo: Brian Minear (unsplash.com / CC)

    Les chrétiens sont-ils des zombies ?

    Avez-vous eu la piqure des zombies? Même si vous n’en êtes pas fans, vous avez surement déjà entendu parler de la série télévisée Walking Dead? Elle met en vedette Rick comme héros emblématique. Récemment, les morts-vivants ont été abordés dans un tout autre contexte que celui du divertissement : dans une rencontre de théologiens ! Aussi original que cela puisse paraitre, c’est lors des retrouvailles des diplômés de la Faculté de théologie de l’Université Laval, le 30 octobre, que la présentation sur ces morts-vivants a eu lieu. Selon l’organisateur de la soirée, Alain Bouchard[1], Jésus Christ est, en quelque sorte, le

  • souffrance

    Nous sommes appelés à la souffrance

    Tenaillée par un problème de santé cet automne, notre blogueuse Véronique Demers nous partage sa réflexion sur le sens de la souffrance. Témoignage. Dans ce monde déchu, impossible d’écarter la souffrance de notre chemin. Au départ, aucun nuage ne troublait l’horizon ; l’harmonie était au rendez-vous avec le Créateur. Mais après avoir désobéi aux commandements divins, l’Homme a coupé le lien direct, en plus d’ouvrir la porte au mal. Et la souffrance en fait partie. Plusieurs types de souffrance peuvent miner notre existence, qu’elle soit émotionnelle, physique, psychologique ou relationnelle. Elle vient parfois nous titiller, alors que nous n’avons rien

Aidez-nous avec un don

Le Verbe, un média 100 % gratuit

Je veux donner