On passe à la vitesse grand V!

Comment trouvez-vous notre nouveau site web?

Je donne mon avis
Fermer
Articles
James Langlois
James Langlois

James Langlois

James Langlois est diplômé en sciences de l’éducation et a aussi étudié la philosophie et la théologie. Curieux et autodidacte, chroniqueur infatigable pour les balados du Verbe médias depuis son arrivée en 2016, il se consacre aussi de plus en plus aux grands reportages pour les pages de nos magazines.

  • Frédéric

    Frédéric Langlois, un prêtre qui ne s’est jamais converti

    Il y a quelques mois, Frédéric, 29 ans, est ordonné diacre en vue du presbytérat. Un appel qu’il reçoit durant une rencontre de familles catholiques. Avec ses sept frères et sœurs, il fait l’école-maison, primaire et secondaire. Un choix éducatif qui «aide à fortifier les valeurs familiales sans qu’il y ait toujours d’autres influences. Il y en a toujours, dans nos rencontres ou quand on regarde la télé – on reste dans le monde –, mais ça nous solidifie, on se sent moins fragiles», précise-t-il. Le rôle de l’école-maison est pour lui indéniable dans la construction de sa foi. Il fait remarquer

  • Étienne Finol

    La descente aux enfers d’Étienne Finol

    Enfant de deux parents psychologues, catholiques pratiquants de surcroit, Étienne Finol semblait tout avoir pour grandir de manière épanouie. Le baseball qu’il pratiquait depuis sa tendre enfance lui avait ouvert les portes, bourses incluses, d’une grande école américaine. Mais la perte de cette opportunité lui a fait frapper une fausse balle, l’entrainant dans le champ de la toxicomanie jusqu’à en devenir sans-abri. Étienne a passé les quatre premières années de sa vie adulte hors du Québec pour se reconstruire et mettre un frein à ses dépendances. À 25 ans, c’est comme s’il partait de zéro : il a dû réapprendre à aller

  • monastere-abbaye-valnotredame

    L’habitat fait le moine

    [Ce texte est tiré de l’édition papier du magazine Le Verbe, été 2019. Pour consulter la version numérique, cliquez ici. Pour vous abonner gratuitement, cliquez ici.] Il y a dix ans cette année, les moines cisterciens d’Oka ont quitté leur terre plus que centenaire pour aller s’établir dans la forêt lanaudoise. L’abbaye Val Notre-Dame, plus adaptée à la taille de la communauté et offrant un cadre plus silencieux, fait partie des bâtiments les plus écologiques au Québec. Au-delà des aspects avant-gardistes de l’œuvre de l’architecte Pierre Thibault, quelle place la nature occupe-t-elle dans la vie spirituelle de ces moines? Rencontre avec

  • blogue-enfant-voiture-jeu

    Sept fois mieux qu’une Porsche

    Pour souligner les cinquante ans de la controversée encyclique Humanae Vitae sur le mariage et la régulation des naissances, publiée en 1968 par le Pape Paul VI, Le Verbe a rencontré Paul-André et Marie, un couple qui a toujours cherché à vivre cette fécondité «au naturel» telle qu’enseignée par l’Église catholique. Si, lorsqu’elle étudiait la médecine, vous aviez dit à Marie qu’elle serait un jour mère au foyer de sept enfants, elle vous ne vous aurait certainement pas cru. De même son mari, qui pensait épouser une future médecin, se voyait davantage au volant d’une Porsche que d’une mini-fourgonnette. Il

  • Photo: Elias Djemil

    Le verre à moitié plein des Girard

    L’histoire de Jacques et Yvonne n’est pas exactement ce qu’on pourrait appeler une «belle histoire». Dans leur récit s’entremêlent les effluves de fond de tonne et d’encens. Les deux septuagénaires célèbreront cette année 57 ans de mariage, et pourtant, peu de choses les prédisposaient à être ensemble. Jacques et Yvonne se sont rencontrés lors d’une veillée funèbre: présage d’une vie de couple singulière. À quelques pas du défunt commençait une histoire dans laquelle allaient se côtoyer la vie et la mort. En entrant dans leur silencieuse demeure, on ne peut échapper aux nombreux portraits accrochés sur les murs: quatre enfants (dont

  • Syrie-Québec : l’itinéraire de la famille Issa

    « C’est pour mes enfants que je suis venu ici », affirme Youssef, 33 ans, père de la famille Issa. Ils habitaient Lattaquié, sur la côte ouest de la Syrie. Leur ville n’a pas été aussi attaquée que la capitale, Damas, ou qu’Alep, le haut lieu du gouvernement, mais il n’empêche que les explosions ponctuelles laissaient entrevoir un avenir incertain pour leurs enfants, Vanessa, cinq ans et demi, et Michel, quatre ans. Ils ont donc fui vers le Liban en 2014. Une fois là-bas, difficile de recommencer: pas de possibilité d’emploi, cout élevé de la vie. Un prêtre qu’ils connaissent contacte alors le

Abonnez-vous gratuitement

6 numéros + 2 numéros spéciaux par année

Je veux m'abonner