

Printemps 2025
-
Les Québécois ont-ils encore le cœur à la fête?
Les chiffres sont clairs: la consommation d’alcool diminue au Québec depuis quelques années. Presque plus personne ne fume de tabac. Les spectacles terminent de plus en plus tôt. Les boites de nuit ont presque disparu. Et pourtant, les festivals sont légion. Il me semble que, malgré leur abondance, la plupart des évènements festifs ne lèvent pas. Que je pense à la Saint-Jean, à l’Halloween, à Noël, rien n’est comparable à mes souvenirs d’enfance. Nostalgie de trentenaire? Préjugé favorable au passé? Sans doute. Mais au risque d’être perçu comme un rabat-joie, j’ose plutôt penser que les Québécois savent de moins en moins fêter.
-
La joie que tout le monde cherche
Trente minutes. C’est le temps qu’il m’a fallu pour passer de l’exaltation à la morosité. Nous revenons d’un voyage. Une cinquantaine de compagnons, émerveillés par l’Espagne et heureux d’avoir prié avec le pape et des milliers d’autres jeunes. À l’aéroport, je suis séparée du groupe. Sur le pont principal de notre avion, mes amis chantent et rient. Je m’installe à regret à ma place, sur le pont supérieur. Trentaine d’inconnus, ambiance feutrée, écrans captivants… La joie qui m’habite disparait bien rapidement. La joie n’est-elle donc qu’une émotion passagère? Ou bien peut-on la garder toujours?
-
Huit fêtes juives pour se préparer à la fête éternelle
Dans la tradition juive, chaque fête est un rendez-vous avec Dieu. Du sabbat à Yom Kippour, voici huit vraies bonnes raisons de fêter.
-
Prendre la joie à bras-le-corps
Bouger, faire des rencontres, chasser les tracas l’espace d’un moment festif: il y a toutes sortes de raisons pour danser le swing. Incursion dans l'univers de cette forme de danse comptant de nombreux adeptes parmi les chrétiens.